mercredi 16 août 2017

Radicalité

L'Involution d'E&R se poursuit inexorablement, dans un sens de non radicalité. Et ne pas être radical, c'est ne pas aller à la racine, vouloir redistribuer les cartes, alors qu'il faut renverser la table et dire on ne joue plus.

On pourra lire ici un article sur l’Alt-right américaine, modéré, conservateur, teinté de réformisme, qui m'est contraire absolument.
Qu'est qu'il y a donc à conserver ?
 La sottise, le bon gros bon sens, la médiocrité grave, sentencieuse !  Le contraire du radical ! Jusqu’où va-t-on descendre ? 
Le terme de "radicalité" reste pris dans sa définition journaliste et policière de "violence et d’ extrémisme". Le contraire du modéré, en somme.
" Refuser la violence, refuser les clivages, œuvrer à la cohésion nationale", lit-on dans la conclusion.  C'est refuser d'abattre le pouvoir maudit, s'entendre avec nos fossoyeurs.

Parce que le Pouvoir Entitaire qui programme notre déchéance, cet antinazisme de forcené qui fait du nazisme l’alpha et l’omega de sa conscience politique, cet antinazisme n’est pas le contraire du nazisme, mais un nazisme contraire. Et contraire absolument, en ce qu'il prend pour cible ceux que le nazisme ancien défendait. En ce qu’il rabaisse notre "être là", ce que nous sommes.

 La nécessaire politique de Salut public, socialiste et européenne, se doit d’être identitaire et prolétaire. Sans des éléments de socialisme réel, et de défense tangible de la race blanche, point de salut, aucune victoire possible, il ne reste qu’à crier Viva la Muerte,  puisqu’à la différence des tueurs du Bataclan qui sont les sicaires légaux, et qui peuvent frapper à leur guise la population sans défense, on ne pourra même plus approcher, ni de près ni de loin, toute la vermine d’État, cette lie de criminels qui mériterait cent fois la mort, et la mort la plus ignominieuse.

  Ainsi, ayant commencé une carrière politique comme anarchiste pubertaire, en révolte contre l’autorité, je la finis dans la peau d’un anarchiste spirituel, qui désespère de la naissance sanglante et splendide d’un Ordre Nouveau, préférant la mort au triomphe de cette pourriture ignominieuse, qui signifie servitude sans fin ni sans fond.

PS du 23 août.
Pourquoi cet article signé de son nom par son auteur, est-il présenté aussi comme émanent d'E-R ?
Je sais que Soral ne l'a pas lu. Alors en quoi ce lourd pensum de SOS-racisme et de sens rassis, représente-t-il la ligne d'E&R ?


3 commentaires:

VoieRéelle a dit…

Il est beau de vous voir maintenir votre ligne et votre indépendance, et ce malgré les "coups de pression" que vous avez pu subir à plusieurs reprises sur les plateaux d'E&R ! Vous tenez encore la barre du navire, quand tous les autres sautent du pont.
Tout mes encouragements pour la suite.

Unknown a dit…

Cher Félix,
Le grand nombre ne s'accorde pas avec la radicalité.
Etre radical c'est s'aliéner des lecteurs, des visiteurs, des "clics", des acheteurs potentiels, vous en savez quelque chose vous dont le nombre de lecteurs fidèles et assidus est réduit à la portion congrue.
Vouloir l'expansion du site et chercher à parler au plus grand nombre demande de la consensualité et j'ose l'affirmer, une forme de médiocrité (cad être dans la moyenne) : c'est en gros le principe démocratique.
Il suffit de faire l'effort de lire la section commentaires pour le réaliser.
Qualité versus quantité, certains en ont parlé mieux que moi et vous connaissez tout ça.

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

Vous avez raison Jimmy de faire ce simple rappel du principe et de la fin de toute chose humaine.