dimanche 23 août 2015

Les Nerfs à Tel à Viv

C’est l’été à Hidalgo-City.
Sous les cieux zébrés de rayures chimiques, un soleil de plomb durci, doré à la feuille d’or par les Golden Boys, vomit ses infrarouges et ses ultraviolets sur une plage de comédie.
 Pantalonnade en short qui menace de s’aigrir, le faux bord de la mer devenant un vrai bordel amer. 

D’un côté nous avons, le long d’un égout pestilentiel en lequel clapotent des millions d’étrons cosmopolites, Festivus festivus qui bronze ses poumons au monoxyde de carbone, à défaut de zyclon, par solidarité citoyenne avec les victimes des tirs de roquettes qui mettent là bas les nerfs à Tel à Viv.
Mais d’une manière générale, on compte davantage de flics et de journalistes (qui sont une variété plus sournoise de flics) que d’estivants.

 De l’autre, des antisémites( puisque il a été suffisamment démontré à l’université d’été du PS que l’antisionisme n’est pas un humanisme, mais un antisémitisme déguisé), qui reprochent à cette initiative de rendre top cool l’Israël.
Ne montrant que ses bons côtés, nombreux : sa douceur de vivre, entre soi, ses excursions à Parash Hill, ses geôles 4 étoiles, son phosphore enchanteur et son uranium, démocratiquement appauvri pour être accessible aux plus humbles.

En réac-Sion, ils ont décidé de fonder Gaza-plage sur du sable en hommage à cette plage étroite où s’égayent 1 million 500 000 autochtones, dans un camp de concentration à ciel ouvert, très régulièrement exterminés pour leur apprendre à vivre.
Mais les antisionistes n’ont pas réussi non plus à mobiliser le Nombre.
Nos djihadistes en herbe étant trop occupé à donner des coups de machette à tort et à travers dans les transports en commun, pour aller flemmarder à Gaza plage.

 Boucané, musculeux et propitiatoire, le Fils de la Mémoire entouré de preneuses de çon et de cameramen, venu en rollers depuis Tel Aviv apporte son renfort pour Garder la Frontière de ce ban de sable importé par les Ciments Lafarge.

 Le Caudillo du gouvernement éternellement lié, s’est dit, à la surprise générale, satisfait de cette initiative. Il y a de quoi ! Le pouvoir réussit à mettre face à face policiers et pro-palestiniens, et renforce plus étroitement la collaboration et l’amitié compréhensive qui s’est nouée entre la police et les milices communautaires, après les événements Charliesques.
 Il paraît déjà loin le temps où les gendarmes écoutaient d’une oreille indulgente des marseillaises braillées dans les gynécées du Sanhédrin.

 L’Union des Juifs Étudiant la France vont ils à nouveau étaler sur les sables mouvant l’étendard classique : « En France on tue des Juifs, des Noirs et des Arabes », versant le réconfort et l’amitié entre les peuples, réconciliant tous ceux qui méritent d’être réconcilié contre l’Ennemi commun?
Tous nous l’espérons.

 Sous le pont Notre Dame coule la Mal-Seine 
Et sur ses berges sales ruisselle le Sang : 
Son ineffaçable souvenir indécent. 
Festivus Festivus s’y prélasse, obscène. 

 Que lui font les enfants, que lui fait le phosphore, 
Les cœurs calcinés, les yeux dans la chaux vive ? 
 L’homme en bermuda n’aime que Tel-Aviv, 
 Sa gay pride, sa douceur de vivre, son confort ! 

 Devant le plomb durci il restait silencieux 
Que lui font les enfants qui se recroquevillent 
Brûlés dans le phosphore et l’uranium précieux ? 
À côté de Shoah se sont des peccadilles !

jeudi 13 août 2015

Sigismund & onfray

Le Juif mussolinien , cocaïnomane et misogyne, Sigismund n'a pas la cote. C'est le moins que l'on puisse dire. Grâce à lui, le Gros Con Onfray est en passe de devenir l'Idole des jeunes finkelcrotiens.

Sigismund qui révérait Schopenhauer, Nietzsche et Otto Weinninger, 
L'antisémitisme est une chose trop grave pour être laissé à l'extrême droite. 

Je sais que le Bonze Onfray a puissamment renversé sa statue. L'a déboulonnée. Et décrié le répugnant personnage qui servit de modèle pour ce Bronze, comme un immonde « misogyne, cocaïnomane et admirateur de Mussolini. » Toutes choses indéniables.  Et qui a forcé chez tous, dans la puissante fachosphère, l'admiration. Non parce que Freud était misogyne, cocaïnomane et admirateur de Mussolini. Non !  Parce qu' Onfray a déboulonné un youpin. Personne ne se tenait plus de joie. Je vous entendais gueuler jusque dans mon blogue.  Bandes d'abrutis pensais-je. J'avais pas osé ramener ma petite libido sciendi, à ce moment, avoué que j'estimais un million de fois plus le Sigismund, que cette platitude féministe, d'Onfray.  Le Nitche de France Anus.


Il faut quand même le reconnaître l'imbécillité classique fasciste est restée.
Au fond c'est la dégénérescence gauchiste qui les a fait passer au premier plan. Car rien n’égale aujourd'hui en profondeur la connerie des antifa. On atteint avec eux les cimes. 
Mais au temps béni des coups de triques, les rouges avaient ceci de supérieur au bruns qu'ils volaient plus haut.   Mais leurs héritiers sont tombés dans cette fange, aussi les demi-habiles fa passent maintenant pour des parangons.
Rappel des propos à l'usage des jeunes générations.


"Derrière l’envie de pénis se révèle l’amertume hostile de la femme envers l’homme, amertume dont les productions littéraires des ‘émancipées’ présentent les signes les plus évidents." Sigismund Freud (Tabou de la Virginité, 1918)

"C’est un fait connu, et qui a donné aux hommes ample matière à récrimination, que souvent le caractère des femmes s’altère singulièrement une fois qu’elles ont renoncé à leur fonction génitale. Elles deviennent querelleuses, tracassières et ergoteuses, mesquines et avares ; elles font ainsi montre de traits d’érotisme sadique anal qu’elles ne possédaient pas auparavant, durant leur féminité."

"Le secret de l’imbécillité physiologique des femmes réside dans le fait qu’elle est une conséquence du refoulement sexuel. Comme on leur interdit de penser à ce qu’il y a de plus valable pour elles, l’activité de la pensée en général n’a plus de valeur du tout."

"La femme a le sens de la justice peu développé, ce qui s’explique par la prédominance de l’envie dans sa vie psychique [...] Ses intérêts sociaux sont moins développés et ses capacités de sublimer ses passions sont plus faibles que ceux des hommes."

Même si la femme "doit être jugée avec indulgence et tolérance dans les domaines où elle est en retard sur l’homme", "Il est vrai, dit Freud, que la femme ne gagne rien à étudier et que cela n’améliore pas, dans l’ensemble, la condition des femmes. En outre, la femme ne peut égaler l’homme dans la sublimation de la sexualité"

"L’infériorité intellectuelle de tant de femmes, qui est une réalité indiscutable, doit être attribuée à l’inhibition de la pensée, inhibition requise pour la répression sexuelle."

"[...]l’enfant ne se comporte pas autrement que la femme moyenne inculte, chez qui subsiste la même disposition perverse polymorphe. Dans les conditions habituelles, celle-ci peut rester à peu près normale sexuellement, mais sous la conduite d’un habile séducteur, elle prendra goût à toutes les perversions et en maintiendra l’usage dans son activité sexuelle. Dans son activité professionnelle, la prostituée met à profit la même disposition polymorphe et, par conséquent, infantile ; et, si l’on considère le nombre immense de femmes prostituées et de celles à qui il faut accorder des aptitudes à la prostitution bien qu’elles aient échappé au métier, il devient en fin de compte impossible de ne pas reconnaître dans l’égale disposition à toutes les perversions un trait universellement humain et originel."