mardi 26 novembre 2013

Digressions


Un type (le bien-nommé Aldébran) m'écrit "Même Céline me fait chier"!
C'qu'il veut qu'ça nous foute ! Franchement ! Mais qu'il aille faire ailleurs, merde.
C'est pas un centre de prélèvement et d'analyse colorectale, ici.

D'autant qu'ici, Aristote est cent fois plus cité que Céline. Ainsi que Baudelaire. Nous avons extrêmement peu à voir finalement avec l'auteur de Bagatelles.
Ainsi il eût mieux convenu de m'écrire : « même Aristote me fait chier. »
C'eût été beau comme de l'Antique ! Et puis une telle exonération eût été plus consistante, et eût mieux moulé la "substance", pour parler comme Aristote, la nombreuse personnalité du déféquant.
 Quant à s'exclamer "Même Baudelaire me fait chier", on eût atteint des cimes.  Excellent et même de meilleur gout.
Mais, il vaut mieux réserver ce trait pour les dîners entre amis, quand il y a les femmes.
D'abord parce que dans les ''apéritifs-dînatoires'', après avoir salué les copains, d'un viril « salut p'tite bite », les conversations roulent toujours autour du Cul. C'est le dernier chic.
Et rien de mieux après ''le Cul'' que de montrer son bran. Ainsi un « Moi, même Baudelaire me fait chier » fût tout à l'avantage du proférant, et, qui sait, l'eût placé en bonne fortune.
Voici pourquoi.
Parce que s'il ponctue son bronze, d'un fin sourire gras (si si ça existe), en coulant en douce un œil vers la femelle de son cœur, il n’eût pas manqué d'apercevoir le sien (d’œil) s'allumer : quel mâle ! un tel antipoète ne peut être qu'une bête, une bête de sommier ! S’embarrasse pas de vaines phrases et de fleurs bleues !
Z
Parce que la femelle sait, de source mammifère sûre, la même chose que Charles qui écrivit :
 « Plus l'homme cultive les arts, moins il bande.
Il se fait un divorce de plus en plus sensible entre l'esprit et la brute.
La brute seule bande bien, et la fouterie est le lyrisme du peuple. »

Ainsi les chances de la calcer sur la cuvette, au débotté, dans les double-vécés, entre deux olives, ou deux tranches de saucisson, en seront décuplées.
 Et cette victoire remportée grâce au renfort de l'Anti-poésie, n'eût en rien offensé le poète :
« La jeune fille, ce qu’elle est en réalité. Une petite sotte et une petite salope ; la plus grande imbécillité unie à la plus grande dépravation.
Il y a dans la jeune fille toute l’abjection du voyou et du collégien. »  Charles Baudelaire.
Voyez- vous.
félix

lundi 25 novembre 2013

Cette goutte de féminité...


Je suis las de cette engeance, celles des mecs qui se font actuellement les défenseurs des femmes.
Voici donc l' aimable mise au point, que j'ai dû laisser chez un confrère et que je livre crue, dans sa spontanéité irascible.

"Pauvre petit couillon. Ta pensée parfaitement homogène, finalement à la doxa dominante.
1. Si tu ne vois pas, ne constate pas, ne ressens pas le féminisme triomphant, que notre époque est gynécocratique, que c'est la base, c'est que tu n'es pas équipé intérieurement pour ça.
2. Comme les gonzesses féministes tu tiens l'équation misogyne = beaufs, dominés par leur queue.
Pauvre couillon. C'est exactement le contraire.
Tu penses qu'Ibara et moi sommes des gros beaufs ? Mais les beaufs sont tous, sans exception des féministes, parce qu'ils sont équipés pour tout céder aux bonnes femmes. Baudelaire, Aristote, Flaubert, les Goncourt, Conrad, Rimbaud... je pourrais continuer la liste des grands misogynes jusqu'à demain, sont donc des Gros Cons ?
Non. Ils ont tous en eux une goutte de féminité, qui les rend intérieurement conscient de la polarité femelle, et qui les empêche d'être la dupe des simagrées du sexe ennemi.
Cette goutte de féminité, en outre, nous préserve de l'effémination spirituelle, comme la tienne, ou de la lourde beauferie qui pue des pieds comme les mâles intacts avec qui tu nous confonds.
Je défie un seul des beaufs qui va s'empresser d’acclamer tes dires, d'être l'auteur de La Jeune-Morte.
J'ai toujours affirmé que les vrais responsables de la Gynécocratie sont les mâles.
Cons comme toi.
Retourne donc bêler sous les jupes de la Sororité Aryenne, puisque ce sont les dessous d'un mâle et qui te baise bien. "
Amen comme dirait l'Abbé.
félix

Post Scriptum affectueux de l'Abbé
Si vous aviez vraiment LU, Brebis égaré, Lisieux ou Thérèse d'Avila, et non pas vous laissez emporter par un éréthisme momentané, exalté par quelques découvertes accidentelles sur Google images, vous sauriez qu'il y a dans leur mysticisme, le plus admirable, le plus inspiré, quelque-chose d'impur, de gênant, qu'on ne trouve pas chez Jean de la Croix, Antoine de Padoue ou Saint Bonaventure par exemple.
Impureté fondamentale qui faisait écrire à Baudelaire : "J'ai toujours été étonné qu'on laissât les femmes entrer dans les églises. Quelle conversation peuvent-elles avoir avec Dieu ?"
l'abbé Tymon de Quimonte

dimanche 24 novembre 2013

Monsieur Delanoë


Tous, nous sommes au courant des palinodies judiciaires récentes avec Monsieur Delanoë, qui vient d’envoyer Hervé Ryssen sous les verrous, et tente de ruiner Alain Soral et notre association sous des prétextes fallacieux. À cette occasion il sera bon de regarder d’un peu près la politique réelle du Maire de la capitale.
Homme de Gauche, il ne se contente pas de faire éventrer Paris et de saigner le contribuable pour ses grands travaux somptuaires, dont nous savons de source judiciaire sûre qu’il ne retire aucun enrichissement personnel. Il le fait pour la Gloire (et l’appauvrissement personnel du contribuable). Il se fait aussi un point d’honneur de Gauchir, de féminiser, de judaïser, à tout va, sites & voies. Places, rues, routes, canaux, pistes, passages, sentes et sentiers, ponts, esplanades et parvis, impasses et jardins, tout y passe. Tout est rebaptisé, tout est défrancisé, comme cette partie de l'avenue de France rebaptisée au sécateur avenue Mendès-France, tout est renommé, ainsi va la renommée de Monsieur Delanoë.

 En tant que Maire de Paris, Monsieur Delanoë a une voix prépondérante pour ce qui concerne les choix de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). Les décisions de l’AP-HP doivent être votées ensuite par le conseil municipal de Paris. Qu’a fait Monsieur Delanoë pour empêcher la récente fermeture du service d’urgences du plus vieil hôpital de Paris, L’Hôtel Dieu ? Rien. Pourtant, les services d’Urgence de l’Hôtel Dieu accueillaient plus de 40 000 patients par an !
Cependant, le fer de Lance de cette fermeture a été Jean Marie le Guen, Maire-adjoint de Monsieur Delanoë, en charge de la Santé publique et des relations avec l’AP-HP, dont il a présidé le Conseil d’Administration de juin 2008 à juin 2010. Tel est le maître d’œuvre de la fermeture de l’Hôtel Dieu. Avec sa complice ministre Touraine. Qui peut croire qu’une telle politique se fait sans l’aval du Maire de Paris ? 
Depuis des années, même sous le gouvernement précédent, l'AP-HP a poursuivi le désossage systématique, délibéré, opiniâtre, des hôpitaux parisiens et de leurs équipes médicales.
L’AP-HP  a d’ores et déjà commencé le démantèlement du Vieil, mais néanmoins ultra-moderne, Hôtel-Dieu par le transfert express des services, matériel et personnels vers les hôpitaux voisins.
Pourquoi tant de hâte ?
Parce que les directeurs et adjoints du Pôle Financier sont pressés de s’asseoir sur la Misère des siècles, dans ce luxueux Siège entouré des vieilles pierres qui datent de Saint-Louis. C’est ainsi que la Finance s’ennoblit.
En outre on est en train d’y établir aussi un « musée ». Car l’AP-HP souhaite faire de l’Hôtel-Dieu, en plus de ses propres locaux, un « Musée-Salle de Réception ». Toujours dans le luxe et l’apparat. Pour recevoir bientôt les Émirs du Qatar et le gratin des pornocrates, dans des coquetailles mondains où se négocieront civilement les tarifs de la Prostitution Haut de gamme que Madame Belkacem se gardera bien d’abolir. Sur des lieux où naguère gémissait les souffrants, où les urgentistes sauvaient des vies, des vits seront comblés par d’autres sévices.
Quant à nous, futurs malades ou accidentés par les chauffards pourvoyeurs de la cocaïne de ces messieurs-dames de l’ Hôtel Dieu-du-Libre-échange, qu’on aille crever plus loin ! A la périphérie, dans les hôpitaux d’Île France, en lesquels les services d’urgence sont déjà saturés (de 114% à 250% chiffres officiels dans cinq grands hôpitaux de Paris) ! 
Merci Monsieur le Maire, pour ne pas vous être opposé à cette destruction, de gauche, de l’hôpital public.

Monsieur le Maire inonde d’argent tout aussi public des assoces ne représentant qu’elles-mêmes. Ainsi quatre grignoteuses en mal de gigot à l’ail se verront offrir des dizaines de milliers d’euros à condition qu’elles proposent un concept victimaire idoine, genre “ union des lesbiennes tranchantes contre la transophobie dans la boucherie-charcuterie”. En réalité ces assoces de tarés, qui ne représentent nullement aucune cause homosexuelle quelconque, sont les corps francs de la Nouvelle Ingénierie capitaliste et eugéniste.
Or donc, Monsieur Delanoë se vante d’être un propagandiste acharné de la PMA-GPA. C’est à dire de la marchandisation de l’utérus. L’utérus de la simple « porteuse », la bête de somme qui va servir à délivrer des basses-œuvres de la gestation et de la mise-bas, la néo-femelle viriloïde des couples de l’Hyper-classe parasite mondiale.
Ce marché potentiel existe, il doit être impérativement débloqué !
Et l’on notera, sombre ironie, que les clients génétiques seront essentiellement les couples Hétéros de l’Hyper-classe de l’Empire, parfaitement eugénistes et racistes, qui veulent perpétuer leurs gènes élitistes, pour maintenir leur patrimoine en des mains racialement correctes.
La Diversité et le métissage c’est bon pour les quartiers populaires ! Les nouveaux riches ne veulent plus adopter des rejetons divers dans leurs nouveaux quartiers de noblesse.
Quant au bétail ’’porteur’’ de cette nouvelle bio-économie génésique, il sera bien sûr pris dans le cheptel des femmes pauvres, des classes appauvries artificiellement par la dictature bancaire.
Là, et seulement là, gît le secret véritable de la profanation du mariage monogamique dit pour tous.

Cet activisme LGBT, au service des Monsanto du Génie Génétique, ne saurait être qu’institutionnel. D’où sa haine du ’’populisme’’, du populaire qui résiste instinctivement à la mise en coupe réglée capitaliste de tous les aspects de la vie qui échappaient jusqu’alors encore à la logique mortifère de la marchandisation et de la rentabilité.
Ainsi ces appels LGBT hébétés à la violence lacrymogène de l’État du Génie du Gène, contre les nouvelles « classes dangereuses » et ses leaders populistes comme Alain Soral.
Les gros bataillons de ces activistes se recrutent dans l’abjecte nouvelle « petite bourgeoisie » des centre-villes, tellement « plus ouverte » et « sans préjugés homophobes », piétaille qui élit sans cesse l’Homme de Gauche Delanoë, et qui applaudit aux exploits des corps-francs Femen, nourris, logés, vêtus et dévêtus par le pouvoir d’État.
Toute contestation contre cet Ordre Nouveau du capital financier monopolistique est décriée par ses nervis comme «  fasciste  », au mépris de ce qui saute aux yeux : les vrais fascistes ce sont eux. Certes un fascisme plus proche du Pinochet des Chicago boys, ultra-libéral en économie et sans visées impérialistes, que du paléo-fascisme terrassé à Hambourg, Dresde et Hiroshima, socialisant et impérialiste.
Les étiquettes ne sont que les valeurs d’échange dans le marché de dupes des idéologies, mais leur valeurs d’usages, sont souvent tout à l’inverse.

L’Homme Riche, l’ex ami de Ben Ali, l'adjoint du bourreau de l’Hôpital Public, le propagandiste extrême de la PMA au service du Lebensborn vaginocrate de l’Elite Off Shore, est le type le plus achevé du Fasciste du XXIe siècle.

Sans doute est-il aisé d’imputer à crime à Alain Soral et ceux qui lui ressemblent, des traits, agressivité politique, socialisme national, qui s’apparentent au Paléo-fascisme défunt.
Mais on pourrait tout aussi bien le dire du Comité de Salut Public, ou de tous les régimes ou mouvements qui savaient que la fin de partie qui se joue ne sera pas la fête, un voyage de noce, mais une lutte à mort contre l’appropriation capitaliste de la vie, dans ses plus ultimes et intimes tréfonds.
Politique mortifère de l’aliénation suprême, dont l’homme de gauche, Monsieur Delanoë, est la figure la plus emblématique.
félix niesche

samedi 23 novembre 2013

Vincent, François, Hervé et les autres....

 D'Hervé Ryssen je suis le premier à dire à haute et inintelligible voix mon estime.
Je l'ai cité lors d'une émission de radio E&R, qui finalement n'a pas été diffusé, du coup j'ai publié mon intervention ici .
Mais je demande, quand il fait une vidéo : pourquoi je suis raciste & antisémite ? , en 2013 sous François ! Sous son gouvernement Valls-Fabius-Moscovici. Je demande pas pourquoi il est raciste et antisémite, je demande pourquoi il dit ça . À quoi ça rime.
Dans une société où il est strictement interdit d'être raciste et antisémite, ou être raciste et antisémite est l'Abomination de la Désolation, le passible d'exécution capitale, sans jugement comme Julien Quemener.
«  Bonjour je suis raciste & antisémite » : Voilà une ligne politique qui doit exalter le Brebis, on comprend !
Imaginez Dutroux quand il était encore en activité : Mesdames, Messieurs bonjour ! Pourquoi je suis sadique et pédophile ? Etc...
Non que je mette ces deux saloperies sur le même plan, dans le même sac que "antisémite et raciste", mais les autorités, elles, le font ! Valls le fait. Et Valls est le Chef de la Sûreté. La sûreté des Contre-antisémites et des antiracistes.

C'est le syndrome de ce révisionniste, là, comment se nomme-t-il ? Très courageux, on est d'accord.
—   Bonjour !  Je suis  Révisionniste et National-socialiste!  Je le dis hautement, Hitler est le plus grand homme politique de tous les temps et les chambres à gaz n'ont pas existé.
Bien. 
Deux ans ferme.
Ici le Brebis est au bord du raptus : enfin une politique qu'il admet, qu'il cautionne, qu'il loue !
Reynouard, ça y est son nom me revient, l'a dit dans un banquet de Rivarol : il faut savoir aller en prison, quitter femme & enfants ; il est fier « d’être pour une politique du pire ». C'est son droit le plus strict et je comprends qu'il force l'admiration de certains.
Selon lui l'ennemi a peur, c'est le moment d'assumer, il faut des martyres etc... 
Père d'une ribambelle d'enfants, il est prêt à tout lâcher, femme & progéniture pour aller en taule.
Mais tout le monde n'est pas marié !

"- Avez-vous beaucoup souffert de cet isolement forcé depuis le 9 juillet 2010 ?"
V. Reynourd . : « Honnêtement non. En prison les autorités s’arrangent pour que tout se passe bien et se montrent compréhensives. D’août à mars, j’ai été seul en cellule. J’ai pu tranquillement dessiner, lire, prier. »
Seul ! Tranquille ! Dessiner, lire...Toutes choses qu'il ne saurait vive,  étant marié.
En prison on a supprimé et la mise aux fers, et le port du boulet. Condition qui change radicalement de celle du Mariage, où le boulet est la charge du malheureux ( mâle heureux !)  couvert des chaînes matrimoniales.
Mais nous autres célibataires, on a peut être pas envie d'y aller, en prison.

Si encore cette politique du martyre faisait naître des milliers de vocations, mais va te faire lanlaire.
Et même dans ce cas qu'est ce qu'ils feraient de plus. Des réunions ?


Addenda
J'apprends qu'Hervé Ryssen va en taule pour injures "homophobes" à l'encontre de l'homme riche, l'ex ami d'Ali Ben, qui est Maire, mais non père de famille. 
Là évidemment c'est autre chose, on peut tous y passer ! Homophobe ça veut dire quoi ? Qu'on a la phobie du même ?

Impasse Adolf



J'entends dire, de ci de là, que des jeunes gens, révoltés par la Domination, criarde, de tout ce que les nazis allemands du paléo-fascisme tenaient pour l'untermensch, tournent eux-mêmes nazis.
Mais un français peut-il être un nazi ? Je pose la question dans l'absolu, en dehors des situations contingentes qui déterminent toujours les hommes à passion.

Le Méchant Chancelier atteint d’une haine viscérale antifrançaise, dans son Livre Naziyabond dénigrait en ces termes, absolument pas, mais alors absolument pas, prémonitoires, la France :
  •   « son envahissement par les nègres fait des progrès si rapides que l’on peut vraiment parler de la naissance d’un Etat africain sur le sol de l’Europe (…). Si l’évolution de la France se prolongeait encore trois cents ans dans son style actuel, les derniers restes du sang franc disparaîtraient dans l’Etat mulâtre africano-européen qui est en train de se constituer : un immense territoire de peuplement autonome s’étendant du Rhin au Congo, rempli de la race inférieure qui se forme lentement sous l’influence d’un métissage prolongé. »
  Haine que la France mulâtre lui rendait bien.
Contre cette France, qu’il qualifie ''d’ennemi mortel et impitoyable du peuple allemand'',
  • « Toute puissance est aujourd’hui notre allié naturel, qui considère avec nous, comme insupportable, la passion d’hégémonie de la France sur le continent. Aucune démarche vis-à-vis de ces puissances ne doit nous paraître trop dure, aucun renoncement ne doit nous paraître impossible, si nous avons finalement la possibilité d’abattre l’ennemi qui nous hait si rageusement. »
Ceci dit, le sentiment anti-allemand, composante de l'idéologie dominante française, le Méchant Chancelier le comprenait parfaitement :
  • « Je ne croirai jamais à une modification des projets que la France nourrit à notre égard ; car ils ne sont, au fond, que l’expression de l’instinct de conservation de la nation française. Si j’étais français et si, pas conséquent, la grandeur de la France m’était aussi chère que m’est sacrée celle de l’Allemagne, je ne pourrais et ne voudrais agir autrement que ne le fait, en fin de compte, un Clemenceau. La nation française, qui meurt lentement, non pas tant par la dépopulation que par la disparition progressive des meilleurs éléments de la race, ne peut continuer à jouer un rôle important dans le monde qu’en démolissant l’Allemagne. »
Citations tirées de Mein Kampf

lundi 18 novembre 2013

Pas qu'une et Pacu

Lili a raison, Pussy ne méritait pas tant de lignes, du moins de rester aussi longtemps déculottée en Une.
Mille excuses, j'ai un autre travail en arrière train..
Ceci dit, ce petit texte était surtout pour faire connaître le Poète-Capitaine Lasphrise. Il en vaut la peine non ?
(Mais Pussy n'était pas qu'une couverture !)

L' hommage de Johannes Paulus m'a fait cruellement sentir combien Tonkin me manquait. Depuis qu'il n'est plus là, sans le vouloir je n'entreprends rien sur le blog que je n'ai invoqué mentalement ses mânes.
Qu'aurais tu pensé vieux frère ?
Mais enfin comme dit Philistine, il faut positiver !  Ce n'est pas sans avoir triomphé intérieurement de toutes les vermines, que nous arrivons d'un pas ferme au seuil de la Sénescence, pour devenir enfin la proie des vers.
$
À propos de vers, je viens de pêcher dans le Pharisien un sacré poisson. Il s'agit du Pacu, de la famille des piranhas, très pointilleux dans le choix de ses mets car il est réputé strict "mangeur testicules".
« Cet exotique poisson d'eau douce originaire d'Amazonie, dont les plus gros individus peuvent mesurer jusqu'à 88 centimètres et peser 25 kilos, serait connu pour aimer avaler les parties génitales de ces messieurs » nous révèle, alléchée, la journaliste du Pharisien.

Nous savions qu'une attaque de Femen était toujours précédée d'une odeur caractéristique de poisson pourri, mais nous ignorions que certain poisson visait aux mêmes buts politiques que ces poissardes dépoitraillées.
Et, toujours à l'instar de ces harengères venues du Dniepr nager en eaux troubles ici, un Pacu « a été découvert dans la Seine par un pêcheur à la ligne qui a immédiatement prévenu la Brigade fluviale de Paris. »
Ces Pacus repêchés seront-ils considérés eux aussi comme espèce protégée, et placés aussitôt dans des bocaux subventionnés ?
Félix le Chat surmené