mercredi 31 juillet 2013

Fermeture annuelle

Cessation d'activité pour le blog début août, l'Abbé, Philistine et votre serviteur prenons de courtes vacances, de conserve mais pas de compagnie, qui au mont Athos, qui à la Flaque, qui à l'Océan....

See you later
Bye !

félix

vendredi 26 juillet 2013

Un peu de People

Le chic parisien

N'y aura-t-il donc jamais de juste milieu avec les conasses ? [1]
Jadis, Gladis, les femmes portaient un jupon, aujourd'hui, Belle-de-Nuit, elles vont en cotillon.
Pourtant on avait trouvé, selon moi, en les années cinquante, une sorte de mesure, une sage moyenne.
Mais à ce point d'équilibre, précaire, il ne fallait rien ajouter, ni rien ôter.

En nos tristes jours, les deux horreurs visibles sont le contraire absolu de l'idéal viril, ordonné.
Ensemble elles s'annulent, par un principe d'égalisation, d'horizontalité absolue, la nullité nécessaire, aucune échappée possible, ni vers la spiritualité, ni vers le libertinage. Il ne reste plus que la Superstition & le Porno, qui sont aux deux autres ce que Onfray est à la Philosophie, le Flambisme au Bonapartisme, la merde au caviar.

Mais enfin les Arabes sont les Arabes, ils font ce qu'ils veulent et le font depuis longtemps, et quand ils demeurent chez eux il n'y a rien à redire.
Au moins ils restent dignes, au lieu que le pire ridicule chez "nos" pétasses, celui de la vanité, les retient de savoir ridicule.

On dit qu’ « il court le jupon ! »
Où donc voyez vous des jupons
Sous les vaporeux chitons ?
 
S'en soucient comme colin-tampon,
Les jeunes & les vieux dragons
Qui vont en combinaison,
 
De la pudeur du troufignon !
Et la 'Première', Gros-Thon, 
S'accoutre telle une Goton.
 
Félix Lechat
note :
[1] C'est une impiété d'avoir fait de ce nom une injure, et des plus basses. La Conasse = la porteuse du Con, terme éminemment littéraire :
"Ces mégères révolutionnaires, qui pissent à con béant sur les cadavres des gens qu'elles ont égorgés" (E. et J. de Goncourt, Journal,1885.) Les Ancêtres de la Première.

mercredi 24 juillet 2013

Trois fées Carabosse

cliquer pour  mieux voir les sales gueules

Voyez les hideux rictus de ces trois sorcières hideuses, dispensatrices de penchants contre-nature ! Qui se penchent satisfaites et très fières sur le bac à leucorrhées où clapote un petit garçon de laboratoire livré à leurs répugnants tripotages sexuels.
Cet air de rate malfaisante de la première, maléfique de la deuxième, et le recul de dégoût de la troisième, ça ne s'invente pas !


À la place des fées tutélaires, les petits mâles auront de ces horribles sorcières pour marraines.
Aujourd'hui ce malheureux petit bonhomme est contraint de jouer à la poupée, et quelle poupée ! demain, la fée Carabosse Belkacem projette de lui apprendre à pisser à croupetons, comme une fille et comme au Maroc, en Suède.
Au m^me moment, ses complices du gouvernement offrent des armes à ses frères barbus des "quartiers",  et les envoient jouer à la guerre en Syrie, pas de quartier !

A côté de la Belkarabocem, les deux autres araignées chevelues en train de tisser leur toile dans ce laboratoire du Gender, sont la Bertinotti, ministre déléguée à la Famille, et la Grésy inspectrice générale des affaires sociales (celle qui a du mal à contempler son œuvre).
Trois gorgones gynécocrates !
La vraie gueule du féminisme ! Tel quel, sans maquillage ! Pris sur le fait.
félix lechat

samedi 20 juillet 2013

Volubilis

Tonkin m'avait envoyé six écharpes de soie, tissées main, Maï Savanh Lao.  
Pourquoi ai-je pensé à cela en lisant dans les récentes lettres de Lili, une phrase qui m'a particulièrement touché ?
Peut-être me rappelait-elle cette intime fraternité d'esprit qui me manque tant.
Je ne parle pas des spéculations sur notre destination post-mortem, mais de quelque chose de plus personnel, quand il lui a écrit :
« j'aurai du penser que dans le contexte mes propos allaient vous peiner. »
Ainsi de moi.
 Je craignais de peiner sa Marguerite en divulguant que notre ami croyait au néant, ou plutôt croyait dans le néant, la mort sans résurrection, sans attente, et professait un hautain désespoir métaphysique.
C'était sous-estimer la profondeur de leur lien. Elle savait tout cela.
......

À la fin nous ne correspondions presque plus, lui et moi, je ne recevais que ses bulletins de santé, effrayants, dits avec son « réalisme et humour teinté de cynisme ».
Puis plus rien.
Et c'est si bouleversant qu'à ce seuil, il n'ait plus écrit qu'à vous, la bien-aimée, que vous seule possédiez, « flamboyante, lumineuse », sa dernière flamme. 
Ne la divulguez pas, m^me en croyant lui rendre hommage, moi qui brûle pourtant de la connaître,  je vous le dis gardez pour vous ce qui n'a été que pour vous.
Pour moi, et bien... je vous ai reçu en héritage.

Soudain à la mort de Tonkin, une petite fleur inconnue a poussé ici, sur le tertre du blog . C'était la Marguerite de mon frère faustien, je ne la connaissais pas. Il avait son jardin secret.
Elle est là, depuis, insistante, pleurante, encombrante, mais ne dérange personne, au contraire, mes fidèles commentants, braves cœurs, se sont empressés de l'entourer.

 Et c'est mystérieux, O à peine!, d'un mystère subtil, élusif, si ténu, et si mêlé de cendre, que Tonkin avec qui je communiais souvent dans une sombre misogynie, m'ait doté, lui parti pour jamais, d'une femme, si fémininement douloureuse, au chagrin volubile, Volubilis sorti de la bouche pleine de terre.  

L'abbé

mercredi 17 juillet 2013

La rimbaldienne de Beni Chiker


Décidément, le magazine pédéraste Têtu inspire la mouquère. Dans ce périodique de Sodome les femmes arabes employées par les gangs successifs qui squattent les palais nationaux, laissent périodiquement des tâches qui laissent beaucoup à désirer.

On se souvient de madame lA ministre des immigrés Fadela Amara des goûts et des gens de couleur, qui dans un numéro de Têtu d'avril 2008, déclarait le plus sérieusement du monde qu'il était très urgent : « qu'un mouvement gay émerge dans les quartiers sensibles. »
D'après elle, ce très nécessaire pendant masculin des Ni Putes ni Soumises devrait s'intituler: "Ni Bouffons ni Enculés".
Ce sont les possibles "enculés" du journal qui ont dû apprécier !

Sans doute la ministre était-elle inspirée par son propre gouvernement UMP-Ni putes-ni soumises, qui était aussi un ramassis de bouffons & d'enculés mondains, installés comme des coucous dans le Nid doré du pouvoir.

Or donc, récemment, dans le même registre et magazine, Belkacem, la marocaine à qui l'actuelle mafia strauss-kahnienne a offert un maroquin, afin qu'elle pourrisse un peu plus ce qui reste de l'Ex-France, a récidivé dans l'expression du ridicule le plus achevé.
Bien décidée à reprendre le triste flambeau de la HALDE, elle se fait fort d'expurger les livres scolaires de toute traces de sexisme, racisme, et m^me de  transphobie, d'homophobie, de lesbophobie, de biphobie et autres trouducul-phobies passibles de lourdes peines.
Ainsi la Bécassem a doctement expliqué : « Aujourd'hui nos manuels [scolaires et non pas Valls NDFLC], s'obstinent à passer sous silence l'orientation LG B T (lesbienne, gay, bi et trans) de certains personnages historiques ou auteur, même quand elle explique une grande partie de leur œuvre. »
Et de citer Rimbaud à l'appui de ses dires !

Avez vous lu Rimbaud ?
Faut-il ne rien connaître de cet auteur non plus que de la littérature du pays squatté.  Affirmer que la pédérastie expliquerait une grande partie de l'œuvre d'Arthur Rimbaud prouve l'ignorance crasseuse ou la sottise prétentieuse (ou les deux réunies), de la porte-parole du gouvernement hollandais, qui a sans doute vaguement entendu parler de la brève aventure londonienne de Verlaine et d'Arthur.

Une fameuse gorgée de poison !
Le chiqué de la bénie-oui-oui de Beni Chiker est décidément sans borne.


Mohamed nous dédie Belkacem
L’arriviste aux orbites bistres
Pour qu’on en fasse une ministre
Pour la postérité de Sem.
Rien de mieux pour faire la nique
À un très vieux pays chrétien
Et traiter comme des sous-chiens
Ses autochtones à coup de trique
Que cette chiourme chérifienne 
Pareille aux vacheries d'Arthur
Hystériques péripatéticiennes
Qui tâchent d'horreur l'azur !   
félix lechat

lundi 15 juillet 2013

Un Entretien philistinien


L'autre jour, on s'en souvient, l'abbé m'a flanqué à la porte. Mais en fait, je n'avais pas dit mon dernier mot !
Le voici :

- Monsieur l'abbé, sachez que je suis confuse d'avoir fait rougir vos rares cheveux blancs.
Mais avant que de m'en retourner dans les limbes, pâles et ternes, où l'on flotte en pleurant loin de votre Sainte-Face de carême, de grâce, charitable Abbé, accordez nous cet interviouve métaphysique qui plairait tant à nos âmes alanguies par les bals des pompiers !
O Abbé cédez !


Et l'abbé céda!

Et voilà ! Un Entretien de bouclé, digne de figurer en bonne place dans "les Entretiens" !
On y parle entre autres choses secondaires, de moi bien sur, mais aussi de Paréo, de Pandora et même d'Ibara, du moins de deux de ses portraits.
Vous pourrez le lire en cliquant ici, dans le Blog dédié à ces Entretiens.  

C'est Le Chat dans les fers, qui va soupirer d'aise !
Philistine.

vendredi 12 juillet 2013

Interlude

 

 Félix, à l'heure du parloir, de sa main blême m'a glissé à travers les barreaux, un billet : « Apprenez ces phrases par cœur et allez trouver l'abbé. »
Je suis donc allée d'un pas décidé chez ce bon Abbé abîmé dans ses bibles en sa thébaïde. 
 - Femme que voulez vous ?
 
Philistine, récitant :
 - Troubler un peu les ondes narcotiques de ces mois de Léthé par quelques silex jetés depuis votre éden !
- Rallumer la flamme du gaz de schisme dessous le brouet du Petit Quimonte refroidi !
De grâce, goûterez-vous monsieur l'abbé la pomme de discorde, mûrie au soleil des Hespérides, que je viens offrir, à genoux devant votre sombre bure ?
 
L'abbé : Sur une pomme d'or nous nous casserions les dents ! Ceci dit, il semble, madame, que vous ne nous la baillez plus avec ce tic en-faitique et emphytéotique, commun à toutes, de commencer vos phrases par 'en fait' !
Philistine : En fait, Félix m'a fait la m^me remarque l'autre jour !
L'abbé : Les grands esprits se compénètrent.
Philistine : Et ils font bien ! On n'a pas tant que ça l'occasion de fourrer, en fait.
 L'abbé : Au revoir madame.
Et n'y revenez plus.
 
C'est Félix l'encagé qui va être content !
 Mais ce que femme veut, c'est bien le diable si un abbé ne le voudrait pas, puisque paraît-il son employeur le veut aussi !
Et j'ai plus de tour d'esprit que quatre sacs à main.
 
Philistine Stringulat