mardi 16 avril 2013

broum, broum


Sur le site Rivalité & Exaspération, j'ai commis un petit travail que vous pourrez lire en cliquant sur ce lien de la Bourse du travail et de la Cote des valeurs.
A partir des événement de Chypre je rappelle que l’essence du Capital n’est nullement la propriété privée mais la privation de toute propriété pour le plus grand nombre.
Et que ce mode production, devenu mode de putréfaction, entraînera à la fin le monde entier dans la barbarie et la ruine

Tant pis pour ceux-là qui était dignes d’un monde plus exaltant, qui portaient sur leur front la clarté stellaire, l’Elan vers les galaxies lointaines, le goût de la science et la soif de vérités. Il pataugeront avec les races sombres dans le bourbier sans nom de la Barbarie, englués dans les plus bestiales superstitions, dans les problématiques absurdes et contre-natures compliquées de toutes les susceptibilités hystériques.
Déjà se dresse le héro à venir de ces temps maudits.
Vois celui qui triomphe !
Entends ses borborygmes !
Vois, il est dans de coûteuses voitures allemandes, qui sont exactement tout ce qu’il n’est pas.
Silencieuses, confortables, rationnelles.
felix lechat

2 commentaires:

orfeenix a dit…

Très intéressant, mais après avoir lu ce billet , son lien, et avoir commandé " la question juive " que je lirai, je suis pour le moment convaincue que le problème et la solution ne sont pas économiques mais philosophiques et que le marxisme est le miroir humaniste du capitalisme car c' est un idéal matérialiste et terrestre.

Anonyme a dit…

À Orfeenix, oui, c’est ça pour se dégager de la fange, il faut s’élever vers le ciel et de là contempler avec mépris ceux qui restent en bas à se débattre dans la fange tout en continuons à les solliciter à nous nourrir par la ruse ou autre moyen car la nourriture vient de la fange. Ceux qui croient que le spirituel et le matériel sont deux choses distinctes, c’est pour justifier leur ridicule de se pavaner avec un doigt sur chaque œil.