mardi 20 novembre 2012

Coupure à l’UMP



Le Parti de la bourgeoisie française, par la voix de son nouveau maître, pourra dire comme le vieux Renan : Naphtoulé élohim niphtalti (j'ai lutté des luttes de dieu).
Certes, depuis longtemps, l’Union Matrimoniale des Plus-values était déjà cabalistiquement tombée dans l’escarcelle de Shylock, avec la clique des Santini, Balkany, Devedjian et autres Karoutchi, qu’on appelait par reductio ad Pasquaum, la mafia « Corse.»
Depuis la parenthèse Sarkozy elle avait même fait sa Bar Mitza, mais il lui restait tout de même un petit quelque-chose, quek'chose de trop François. On le lui a ôté enfin, carrément Coupé au sécateur.
Bourrer les urnes, couper les burnes au bougre, c’est du Kif. Et l’ex-Premier se retrouve comme un gland, à découvert, privé du manteau de pourpre de l’Érection.
 
  
Que les deux lobbys, pour parler comme Monsieur de Lesquen, marchassent la main dans…comme à la Fistinière, on le savait depuis longtemps. N’ont-ils peuple élu domicile en le même quartier, cette mare nostrum très réservée du Marigot ? Ils sont nés de la même Marâtre, se sont fortifiés à sa mamelle, subit de concert les décimations cruelles, et brillés, étoiles jumelles, au firmament jaune et rose des camps extrêmes des mines à Sion.
« Ah ! combien sont tombés, inhalant le Zyklon ! »
- Six selon les organisateurs, six millions selon l’immense historienne à la langue fourest, et pour la seule France, c’est dire si elle en contenait, « ils n’en étaient pas tous mais tous étaient tantés », chiffre qui ravale loin derrière les scores Olympiens des autres Holocaustes. 
Mais ces données quantitatives incontestables, ne doivent pas nuire à l’ordre qualitatif des préséances, sinon où irait-on, je vous le demande un peu.
Et Jean-François, tout Premier et Fils de la Veuve qu’il fut, devra l’apprendre à ses dépens, et relire la  Critique de la raison levantine : " Question élection, on ne saurait triompher d'un élu, car il est élu."

   Souhaitons que Monsieur le Maire de Bordeaux lui donne le bras en ce chemin de Damas : n’a-t-il pas lui même, su supporter avec abnégationisme, en tant qu'il fut ministre des affaires israéliennes de la France, de n'être que le modeste sous-traitant du marchand de langue de Bois précieux, Botul, lors de la Libération de la Libye ?
Allons un peu de modestie Jean-François.
« El xenófobo Copé gana en el caos de las primarias de la derecha francesa » lit on en gros titre dans El Pais, qui ne coupe pas son Copé au ciseau à dentelle.
Xenófobo : c’est comme ça qu’on dit au-delà des Pyrénées ?
Je ne sais pas assez les langues étrangères.
félix lechat
 

mardi 13 novembre 2012

Jospin veut laver le cul de la Cinquième






Le gouvernement Ayrault-Taubira-Belkacem-Benguigui, cependant qu’il fourre son nez courbe dans les parties honteuses des affaires privées, pour donner le change vient de mettre bas une improbable Commission de Rénovation et de Déontologie de la Vie Publique, avec à sa tête un Revenant.
 
Jospin, le privatiseur sans fin de la Gueille
Plurioche, que nous croyions définitivement éboué, vient de ressortir des poubelles de l'histoire, couverts d'épluchures et d'arêtes de poisson, afin de rapporter à son maître Flamby un dossier couvert d’épluchures et d’arêtes de poissons.
Il s’agit d’un rapport de toilettage pour la chienne bâtarde issue d’un croisement entre royauté bourgeoise et république ploutocratique.
Il préconise de lui ôter la gale, les croûtes, la gourme, tout en lui conservant précieusement ses tiques parlementaires et ses puces-députés du poil, à cette sale Bête (qui n’est pas la bête Immonde puisque son géniteur a jadis couru sus à la bête immonde. Taïaut !)

Toiletter superficiellement cette infection alors qu’il faudrait la piquer !
Tant elle est rabbique, nuisible, dénaturée, traître à maison France, arbitraire et pleine d'arbicos.
Puis jeter sa charogne grouillante à la voierie.
À la voirie municipale de la Dictature prophylactique du Salut Public.
félix lechat

 

jeudi 8 novembre 2012

Quel fut le Camp de feu le Prince ?

 
Feu le « Prince Poniatowski » comme le nommait le regretté Marchais, dans son livre-testament avait écrit ces lignes, que n’auraient pas renié l’auteur du Camp des Saints.

"Son âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluri-ethnique et pluri-culturelle que l’on s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer. Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. (…) Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane. Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du «cher et vieux pays» et celui du campement avancé du tiers monde africain. Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours. Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées. Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes. Nous allons vers des Saint-Barthélemy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression. Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un charter rapatriera des envahisseurs illégaux. Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays restitue à l’état sa place normale. Les libéraux l’ont affaibli, les socialistes l’ont détruit. " Où sont les grandes tâches dévolues à l’État ? La Justice, l’Armée, l’Éducation nationale, la Sécurité, la Police, notre place en Europe ? En miettes. La France est à l’abandon, est en décomposition à travers le monde. Sa recomposition est dans un retour énergique à l’unité et à la cohérence, et de la Nation et de l’État."

Et pourtant !
L‘auteur de ces lignes cinglantes, principal artisan de sa victoire électorale, fut ministre du gouvernement de Giscard d’Estaing, et non des moindres, le ministre des chaussures à clous, et c’est ce gouvernement là, qui rendit légal le catastrophique regroupement familial.
Cette infamie ne fut pas votée, il n’y eut pas même l’ombre d’un débat à la Chambre à coucher des domestiques. Non, un simple trait de plume, le décret n°76-383, qui allait défigurer à jamais le visage de la France, y suffit !
Rappelons que Shimone Veil, ministre de la "santé" de ce gouvernement de VGE venait d’accoucher de sa loi sur l’IVG. Résultat : chute de la Natalité dans une France ainsi préparée à recevoir dans son giron des populations substitutives dont la surnatalité exponentielle s'exhaussera encore par le niveau supérieur de notre médecine et des aides sociales.
Après le remplacement des ouvriers dans les usines, on allait remplacer les petits enfants dans les maternités.
Le résultat est là sous nos yeux. Confirmant avec éclat les pronostics du Prince. Félicitation votre altesse, et vos regrets au loin s’agrègent aux larmes du cher vieux pays, et resteront feuilles mortes balayées par l'Entropie.

Comment comprendre ?
La bourgeoisie capitaliste avait clairement analysé la situation et compris l'avantage qu'elle pouvait tirer de cette affluence d'une massa perditionis pour mener sa lutte de classe.
Il ne restait plus qu’à armer ces masses importées de la haine raciale et du sentiment de leur bon droit. Ce rôle fut dévolu à la Vieille Mitte, avec la création artificielle de l’Antiracisme, qui est le petit nom aimable du racisme anti-souchiens. 
On ne comprend rien si on ne voit que sa mission de continuité fut de flinguer le dernier grand parti des ouvriers français. Il le fit grâce à la piétaille immigrée, son état-major SOS, lui-même dirigé par l’Union des étudiants Juifs de France.

- Avec des variations selon les pays et leurs spécificités, l’attitude du grand capital face à cette immigration massive suit en général le même schéma :
1) encourager l’immigration pour des raisons économiques : baisser le cout du travail
2) S’en servir comme d’un bélier pour effondrer les droits et garanties qui constituent d’une part le prolétariat comme classe, et d’autre part la nation historique.
3) Orchestrer des campagnes idéologiques mensongères pour attiser la succeptibilité et une xénophobie de ressentiment chez les populations immigrées contre les classes ouvrières autochtones.
Ce choix ne correspond nullement à un goût quelconque pour ce que le prince Poniatowski appelle le « campement avancé du tiers monde africain », mais au fait que le seul ennemi mortel de la bourgeoisie capitaliste reste le prolétariat autochtone ORGANISÉ .
Félix Lechat