lundi 28 mai 2012

Bonne Nouvelle pour les violeurs, voleurs, assassins mineurs



§. Quand monsieur Hollande dit :

  « Vous les habitants des cités, vous êtes l’avenir de la France »,

il faut garder à l’esprit qu’il s’agit d’un homme qui milite pour la disparition des nations historiques, au premier chef la France.
Ainsi il leur dit qu’il seront l’à-venir de quelque chose qui, l’espère-t-il, n’a pas d’avenir, d’une entité mourante; or ce qu’il advient d’un cadavre c’est la décomposition.

« Vous les habitants des cités, vous êtes le ferment de décomposition de la France. »

§. Et afin de hisser ce ferment dans les cieux,  il va y propulser son emblème.
Il semble que les ultimes présidents de la Cinquième, aient une prédilection pour placer Place Vendôme leur fantôme, ce qui les hante, leur face d'ombre qui les révèle bien plus surement que le plein-jour elyséen.
La nuance, purement d’apparence, des deux derniers « gouvernements » hexagonaux, sera celle, perceptible entre la Dati de péremption et la Taubira des gouts des gens de couleurs.
L'incompétence reconnue, les diplômes inconnus, l’arrogance envers les subalternes, les frais somptuaires de gueule et de garde-robe, furent les seaux de vulgarité que la première garde déversa sur la face aveugle de Thémis.
Quant à la seconde, elle vient déjà de se marquer par des choix qui en disent long…mais ceux qui dissèquent ce long, en large, seront lynchés haut et court.
Ainsi nous subirons deux nouvelles Taxes Taubira :  une pénultième loi réprimant l'ineffable harcèlement sexuel (du mâle envers la femelle, l'inverse étant la séduction) et la suppression des tribunaux correctionnels pour les surineurs prognathes de 1m95 et de moins de 18 ans : les Mineurs !
Retournement de la désindustrialisation : hier, on surnommait les mineurs "les gueules noires".

§. La valse du monde s’est toujours dansé au rythme du Strauss Kahn-Kahn, piétinant des Nafissatou traitées en esclaves.
On aurait pu être fondé à croire qu’une telle féministe à CRAN serait naturellement du côté de toutes les Nafissatou du monde, or elle clabaude dans le gouvernement des amis de monsieur Strauss-Kahn. Un de ces gouvernements du Gros Argent, et de la pire espèce : la Gauche de l'Argent.

Cela force l’irrespect.

Je sais bien que cette dame dirait, lisant ces lignes, c’est parce que je suis Fâme et Noâre que je suis ainsi attaquée. C’est commode, c’est dans l’air du temps, et ça exempte d’y répondre sous tous les autres rapports, ceux de la raison et de l’argumentation essentiellement.
Pourtant, rien, absolument rien au monde, n’effacera qu’elle est Ministre, et non des moindres, d‘un servile gouvernement de la Banque, et il y a quelque chose d’inconvenant, quand on fait profession de dédommagements sur la traite négrière, de faire escompter cette traite par les descendants de ceux qui n’y étaient pour rien, car, comme tout escompte, celui-ci se fera au bénéfice de la Banque, c’est-à-dire de ceux là qui se sont enrichis jadis dans le commerce des nègres.

§. La valse du monde s’est toujours dansé au rythme du Strauss Kahn-Kahn cabriolant avec ses Tapins.
félix le chat

samedi 19 mai 2012

Deux petites consonnes...



Le nouveau gouvernement assis sur l'Ex-France pèse comme un cauchemar sur l'esprit des hommes encore un peu libres.
Si nous avons échappé au DSK en chair turgescente et en os à moelle séminale, en revanche nous n’avons pas coupé à un despotisme coupé, de stricte obédience Strauskante.
Par exemple, le Premier Flic de France est désormais un monsieur qui affirmait que les images de Dominique Strauss-Kahn sortant menotté du commissariat de Harlem à New-York étaient d' « une cruauté insoutenable ! »
« J'avais les larmes aux yeux »
Nous aussi.
De rire.
«Cela fait près de 30 ans que je fais de la politique», mais « je n'ai jamais vu cela et je n'ai jamais ressenti cela
Hé bé, il a pas dû voir grand chose en trente ans, ce ministre régalien.
Même pas les massacres d'enfants palestiniens en l'hiver 2009 ?
Les dizaines et dizaines d'assassinats de blancs sous-chiens par des chances pour la France ?
Il est vrai que ces derniers sont son électorat des goûts, et de couleur.

En attendant des jours pires, dans la circonsision de Paris où je suis censé aller urner, le candidat UMP s’appelle
Jack-Yves Bohbot !
C'est très seyant, et à deux infimes consonnes près, contingentes, imprononçables et inoffensives, voilà qui a le mérite de la franchise !
Rien que pour ça j’ai presque envie de veauter pour lui, à moins qu’il y ait un Fahchot, FN, ou mieux, un Gohgoy, sans étiquette, sans cachet cacher, sans criffe circonsistoire, le grand sceau des gogues, le poinçon du Pif, le visa couleur de plomb.

félix lechat

jeudi 17 mai 2012

Poussières d'étoiles


L’autre jour j’entends un journaliste « scientifique » dans le poste, un superbe surplombant le firmament du Big Bang,  jonglant allégrement avec les étoiles et les constellations, tutoyant l‘Univers, rudoyant les galaxies, explorant les dimensions parallèles, grimpant le long de théories de cordes, puis redescendant en coulissant dans « c’te planète » , afin de nous en rapporter la Bonne Nouvelle !
La voici : tous, autant que nous sommes, que l'on soit fiertés trans, bi, gay, gouines, et même grossier hétéro, enfant palestinien dans le phosphore blanc ou jeune-fille juive traçant de petits mots d’amour sur les obus à l’uranium appauvri, enrichi de Goldman Sachs ou clochard ensaché de cartons sur la Third Street, Straus-Kahn ou Nafissatou, patron ou ouvrier, paysan ou phynancier, CPF ou sous-chiens, tous ! absolument tous, "Poussières d'étoiles", nous sommes l'aboutissement, le point final, le point d'orgue, le fleuron du Cosmos, prévus de toute éternité, peaufinés dès l’aube de l'Espace tentant. .

Quelle grotesque, stupide, absurde, risible, prudhommesque présomption !

" Ô Mort, poussière d'étoiles,
Lève-toi sous mes pas!
Viens, ô douce vague qui brille
Dans les ténèbres;
Emporte-moi dans ton néant
Viens, souffle sombre où je vacille,
Comme une flamme ivre de vent! " [1]

La "religion" des Bobos de Higgs.

D’une part ils vouent un culte délirant à la Nature, idéalisée, la Pacha Mama, devant laquelle ils rapetissent le dur Travail des hommes, d’autre part ils ramènent le réel à la dimension de leur minable entendement, n’ayant plus la moindre perception, ni métaphysique, ni même physique, de leur Néant sidéral.
L’anti Pascal absolu ! La sous-conscience de l'imbuvable crétin imbu, psalmodiant en se grattant le cul, le Cantique du Vide quantique !
A force d'abstractions mathématiques, à défaut d'angoisse métaphysique, ce fétu n’a pas même dans l’esprit la conscience des échelles de grandeurs physiques de l'Univers connu.
Même pas l'amplitude des distances à l'intérieur de notre « tout petit » système solaire, pauvre pavillon de banlieue galactique, loin du Tohu Bohu et des allées éclatantes d’étoiles du centre ville de la Voie Lactée.

"Voie lactée ô sœur lumineuse
Des blancs ruisseaux de Chanaan
Et des corps blancs des amoureuses
Nageurs morts suivrons nous d'ahan
Ton cours vers d'autres nébuleuses "[2]

Pour se faire une idée plus juste des distances du cosmos, supposons un instant la Capitale de la taille du système solaire en son entier. Ainsi :
 -  Le Soleil aurait la dimension de la Grande Synagogue de la rue de Nazareth, métro Temple;  
-  La Terre serait réduite à la taille d'une crotte de pitbull,  à Strasbourg-Saint-Denis;
-  Jupiter serait grosse comme le pitbull déféquant, à Richelieu-Drouot;
-  Pluton serait comme un glaviot du maître-chien anti souchien, à Arc de Triomphe-étoile, sur la Tombe du Soldat Inconnu;
Quant à Proxima du Centaure, l'étoile la plus proche du système solaire, elle serait de la taille de la case, en bouse de zébu, des proches parents du propriétaire du Pit-bull, située à Bandiagara.
Vous voyez ?
Nous sommes vraiment peu de chose.
félix lechat

[1] Charles van Lerberghe (1861-1907).
[2] Apollinaire

vendredi 11 mai 2012

Remaniement


Je vous ennuie avec ces histoires de serviteurs, mais vous savez comme moi quel tracas c'est d'être obligée de procéder à des remaniements dans son personnel (Proust, Jeunes filles en fleurs)

Or donc, hier, les étrons du Fion plein de vaseline sont partis à la fosse septique. Quand je songe, précisément, à toutes ces merdes qui s’écoulent de par les canalisations, je me dis que le peuple a bien fait de tirer la chasse.

Pendant ce temps, le Sauveur Suprême à la Triste Figure hésite encore, pour son héraldique, entre quatre fleurons de Pourriture, pour armorier, à Sinistre, son blason flamboyant, sur fond de gueules. 
Ainsi, sont à craindre, en cette haute fonction : un ex repris de justice, une gouine dyspepsique, fille de l’or et souillon de l’Argent, un zélateur des violeurs de souillons, un vrai val fourré, qui se prend pour une éminence, et un ancien pote à Bérégovoy qui sent salement le sapin.

Et le Bayerou, qui s’était donné tant de mal, le pôvre, n’en sera pas, ça c’est sur.
D’ailleurs le bourgeois béarnais à l’accent aboli, toujours en veine d’appellations mobiles et insupportables, vient de rebaptiser son Modem (ADSL) à Pau, «Pôle central» (téléphonique).

Un pôle étant une extrémité, on voit mal comment il pourrait être au centre.
Aurait il perdu sa boussole le bayerou boréal, qui porte sa Croix du Sud ? À moins qu’il ne souhaite fonder avec son Pau-pôle un MEC : mouvement d’extrême-centre.

félix le chat

jeudi 10 mai 2012

Ex-France


Sortie sur KontreKulture, du recueil de quelques unes de mes satyres et contre-satyres d'Ex-France, la plupart inédites, qui devrait être le premier d'une série si Dieu, ou plutôt le daïmon du commerce, par essence inéquitable et fugace, le veut.

Lu sur le site d'E&R : Questions à Félix Niesche

- Beaucoup s’interrogent : Felix serait-il un abbé défroqué ?
Félix : Je sais, presque tout le monde sur la Toile m’appelle l’abbé.  Ce malentendu provient de mon premier Bloc qui s’intitulait : Entretiens avec l’abbé Tymon de Quimonte.
Ainsi, l’abbé Tymon de Quimonte et Félix Lechat (quel nom ridicule !) n’étaient pas un seul vieux en deux personnes, mais un vrai duo Père et fils, et même une Sainte-Trinité, dont l’Esprit invisible était mon verbe. Car l’abbé existe, je le rencontrais souvent en sa thébaïde, abîmé en d’ardent débats d’hébété en robe de bure. Et j’avais beaucoup d’agrément dans un commerce avec cet étrange Savonarole, excommunié, mais toujours farouche partisan de la Vieille Eglise et de la Sainte-Inquisition.

- N’est-ce pas paradoxal pour un « anarchiste » ?
F : Bah, je suis anarchiste à la manière d'Antonin Artaud : « parce que j’aime tellement l’Ordre que je n’en supporte pas la parodie. » Ce monde est une parodie de monde, une caricature grotesque, un cauchemar rêvé par un SA en 1933. Chacun s’ingénie à ne ressembler qu’à la pire caricature que l’on faisait alors de sa communauté, de son genre, de sa religion, de sa race, de ses penchants sexuels.
Et puis c’est mon côté réac, je pense comme Erza Pound : « qu’il reste davantage de lambeaux de civilisation encore utilisable dans les lézardes, le foutoir, les interstices de ce monument baroque et poussiéreux [l’Église de Rome] que dans toutes les autres institutions de l’Occident. »
Mais je laisse volontiers cette étiquette frelatée, comme les autres, à ceux qui la revendiquent, tous ceux qui vivent mentalement en un monde révolu, comme ce sociologue belge qui se prend pour Gramsci et vient d’écrire récemment une « analyse marxiste » lumineuse sur « la pensée d’Alain Soral » avec un éclairage de vieille lune morte depuis les années trente du dernier siècle.

- Pourquoi avez-vous fermé « les Entretiens ? »
F : On ne LIT pas un blog ! Ainsi Nolite mittere margaritas ante porcos, dit l’abbé, qui parle latin.
Je lui dis alors : Je crains, monsieur l’abbé, que le lierre attache ses griffes dans les lézardes de nos hasardeuses bizarreries, que vos piquantes latinités s’émoussent, couvertes de mousse verte, que mes diatribes lasses s’altèrent en salades où rampent des hélix. À la fin les herbes follettes, les herbettes folles vont engazonner notre vieux blog, alpage livré au morne appétit des herbivores.
L’abbé : « Le monde est une plante qui pousse » disait le Titan de la philosophie. L’herbe ne croît que par syllogisme ! Ce que vous décrivez, c’est la germination de votre blog qui disperse dans les consciences son pollen singulier.
Moi : Consciences destinées ensuite à se disperser dans les ténèbres extérieures...
L’abbé : Nul ne peut sonder la profondeur des abymes ni percer la Ténèbre. Abyssus abyssum invocat. Hanté toujours par l’idée du néant et de la finitude, mon fils, ayant toujours besoin de boire l’eau-de-vie du changement, vous ne pressentez sous les déserts de mousse du temps l’immarcescible jeunesse de vos écrits, les lambris précieux sous le salpêtre des sites.
Ainsi, nonobstant, les conseils de l’abbé qui m’a toujours dit de veiller jalousement sur « l’athanor de votre âme », et de ne pas « vous immiscer dans les advélitations et les disputes », ivre de Vin Nouveau, je fondais le petit Quimonte illustré.

- En somme ce nom, dédié au patronyme de l’abbé, était une manière d’hommage ?
F : Exactement. Cependant que l’abbé répugne à se mêler de « l’actualité », en ces temps de confusion, le pamphlet c’est ma pente, on ne se refait pas. De plus, pour citer Charles Baudelaire : « Ce monde a acquis une épaisseur de vulgarité qui donne au mépris de l’homme spirituel la violence d’une passion. »

- Vous êtes un homme spirituel ?
F : Certes non. Je ne suis qu’un petit volcan qui fulmine, les entrailles brulées de laves, jugé par des éminences, de hautes éminences bien mieux élevées que moi, avec leurs cônes à des hauteurs béantes.
Ainsi j’ai répandu ma lave et j’ai reçu la bave.

- Tout de même, vous avez connu rapidement un succès d’estime.
F : Oui, auprès d’une minorité d’élite. Mais pour beaucoup d’autres bélîtres à élytres bourdonnant au dessus de la porcherie, l’épaisseur de leur carapace leur faisait mépriser plutôt mon style comme la pire vulgarité du monde, sans songer que leur constitution native leur interdirait de supporter jamais pareille violence intérieure.
Ce sont des animaux de basse-cour qui répugnent à une pensée sauvage. Qui n’aperçoivent nulle hauteur au dessus de mes diatribes, parce qu’ils ne voient pas les cieux déchirants par dessus leur enclos.

- Et Niesche c’est en référence au philosophe au marteau ?
Ce serait complètement idiot ! Pourquoi lui ôter son TZ au burin ?
Vous me direz l’Onfray l’éradique bien de sa misogynie, pour en faire Michel Nitche, un philosophe new look, très présentable pour les auditrices de « france » sous-culture. Ce qui est tout à fait comique, car Nietzsche a écrit : « Toute trace de « féminisme », même chez l’homme, suffit à fermer l’accès à mon œuvre, à interdire que l’on pénètre pour jamais dans mes téméraires labyrinthes du Savoir. » [1]
Non, Niesche est mon de baptême, sauf à refaire rouler les lettres dans le scrabble anagrammé du néant.
Quant à « Lechat », je vous l’accorde, je me suis pas foulé. Mais pourquoi se fouler quand on peut feuler.

- Et bien merci Félix
Merci à vous.

[1]   Ecce Homo, Pourquoi j'écris de si bon livres 

lundi 7 mai 2012

L’envers du Fouquet’s

Proiecta vilior alga

La Bastille ! Avec ses horribilis hilares, ses drapeaux allogènes, ses prognathes sans gênes, entremetissés de fillettes antifascistes, cpf et fds enfin réconciliés, les potes qui se tripotent, prélude, demain, aux coups de couteaux dans le cœur.
Sur la scène les caciques du show-bizz étroitement enlacés aux vedettes du PS.
En bas, ça crie, ça couine, ça gueule.
On attend, en tremblant, le sauveur suprême de volailles.
Le voilà qui descend en hélicoptère, tel un hollandoptère à hélice, Papandréou sur le Mont Hélicon (casse toi pauv’con !), celui des Muses en est tout inondé, et les moutons bêlant, bêlent de poubelle.
Sans doute il y a, contre vents sondagiers et marée médiatique, fondamentalement, une signification de classe dans cette pénultième urnation : riches contres pauvres.
Dommage pour ces derniers, que leur mandataire ne leur soit pas aussi loyal et dévoué que le Sarkozy pour les siens. Comme les américains avec leur Polichinelle, ils seront payés uniquement de grandes phrases et de piteuses pétitions de principe.

Tels ces discours enflammés prononcés d’une voix éraillée par le triste tartuffe qui doit son premier rôle à une femme de chambre, et à ses propres qualités de valet, et qui oublieux de la mascarade, enivré de son importance, joue sa comédie avec des grands airs solennels, comme investi d’une mission historique.
Ainsi le voilà à brailler contre l’Austérité, alors qu’il n’a pas la plus petite marge de manœuvre, bâté qu’il est au carcan de l’Union « européenne » et créancier loyal de la Dette. Soumis qu’il est aux "Marchés", qui lui dicteront leur loi.
Ou bien il est atteint de la fièvre colo-électorale des grandeurs, ou bien il a un truc pour NE PAS tenir ses promesses.
Et ce truc, cette ficelle, c’est que très probablement la racaille PS-Front de gauche-écolo n’aura pas la majorité à l’assemblée. Il serait ainsi contraint, à son corps défendant, hélas, hélas, hélas, de ne point tenir ses jolies promesses de campagne.

En attendant, il va aller dare-dare se faire engueuler par la Merkel au sujet du traité TSCG, dit « Super-Maastricht ». Ce traité infâme qui est une obligation de réduction des déficits publics et d’agenouillement devant la Sainte-Dette (80 milliards d’euros d’économie dans les dépenses publiques, soit 20 % du budget total de la nation !) doit être soumis à ratification en France bientôt. Il prévoit d’inscrire la « règle d’or » (c’est-à dire l’obligation d’austérité) dans la Constitution ; avec sanctions automatiques en cas de non-respect, et envoi de gauleiters, comme en Grèce, chargés de faire appliquer les mesures.
Peut-on clamer le « changement maintenant » et ratifier ce traité ?

Puis, notre grand homme ira se faire engueuler derechef par l’Obama, à propos d’une autre promesse, celle de l’Afghanistan.
Gageons cette fois, que des « difficultés » techniques rendront encore, hélas, trois fois hélas, irréalisable, le rapatriement des troupes d’ici la fin 2012, mais que ces dernières précéderont de huit minutes, deux secondes et sept dixième le départ des troupes américaines. Tout de même.

En prévision de ces lendemains qui vont rudement déchanter, le 14 juillet, comme le général Franco qu’admirait tant son paternel, qui allait chercher ses supplétifs au Maroc pour égorger les ouvriers et paysans d’Espagne, Flamby a décidé de faire parader sur les Champs Qatari, des régiments algériens ; ça fera plaisir à son électorat naturel, et…c’est plus prudent.
félix le chat

dimanche 6 mai 2012

Le nouveau-nez


Plus que quelques instants avant d'apprendre, officiellement, l'échouage hideux De vliegende Hollander dans le marécage du Faubourg-Saint Honoré; avec à son bord toutes les fientes du marais...