lundi 5 décembre 2011

Eva naissance du racisme Joly

La vilaine sorcière Gro Eva (ci dessus), mal nommée Joly, est une de ces nombreuses auxiliaires de la Gestapo écolo-féministe bottée dont nos cousins germains d’Hyperborée sont si prodigues.
Bien que retraitée de la basoche, cette Vychinski femelle n’a de cesse de vouloir que la France entière fût mise en examen.

Elle est là à nous engueuler
D’aimer encore les défilés
Et de tirer une gueule de bois
Pour nous chauffer au charbon de bois

Son idéal est celui, extrême, du marché mondial : la Vranze comme un Touriste Land, sans industries, sans usines, sans armée, sans Défense, sans nucléaire, donc sans noyau, sans germen, sans vie.

Que les nations soient abolies
Que s’ouvrent les frontières
Comme les cuisses des rombières
Devant la xénophilie

Or donc, Patrick Besson a offert dans Le Point une amusante parodie d’une déclaration de haine ( dont l’écologie serait le prétexte) à l’encontre de la Vranze, avec l’accent !
Aussitôt quel tollé à Landernau !
Vous savez, cette bourgade microscopique surpeuplée, tellement tout ce que le microcosme compte de microbes microcéphales y fait bâtir sur les sables mouvants leurs masures idéologiques en langue de bois.
Leur père putassier, leur Maire maternel, leur père Noël, leur Mamère sans mamelles mais à moustaches, qui est leur parangon, leur porte-voix, a dit qu’il  « trouve choquant et insultant les propos de Patrick Besson à l’égard d’Eva Joly (…) Besson a franchi les limites (…) Cette chronique, c’est du racisme ordinaire, c’est de la beauferie, tout simplement. »
Sans doute, mais quand les limites sont franchies il n’y a plus de Bornes.
Et au-delà des bornes, n'est il pas kilométriquement hilarant de voir ce Beauf au carré, ce prototype du beauf, avec sa gueule de beauf sortie toute tracée d’un dessin de Cabu, traiter les autres de Beauf ?  Ce Gros Con écolo à bacchantes qui apparie à tour de bras d’autres Gros à Bacchantes qui veulent jouer aux cons, mettant sous le joug nuptial de solides Gayals, Bos frontalis sodomites attelés à leur vice, dans sa mairie bégloise qui n’est plus qu’une annexe bégayante de la Delanoëville.

Finalement l’article de Patrick Besson n’est qu’un excellent pastiche de Balzac quand Honoré transcrivait littéralement l'extraordinaire sabir de Juif d’Europe de l’Est du baron Nucingen dans Splendeurs et misères des courtisanes.
Malade de désir pour la jeune prostituée israélite Esther, dite La Torpille, jouet entre les mains terribles du faux abbé Carlos Herrera, le forçat évadé Vautrin dit Trompe la Mort, le malheureux Baron tombait en consomption. Cet impitoyable loup-cervier devenait un agneau servile aux pieds de sa « Bédide Esder adorée ».
Et, si ses opérations de bourse douteuses qui ruinèrent des centaines de milliers de petites gens paraissent une anticipation de celles de nos Banksters d’aujourd’hui, au rebours, son attitude toute de patience et de soumission, envers son édoile bolaire Esther, semble aux antipodes de celle de son coreligionnaire le skénazie skénosé Kahn à l'endroit de la jeune sépharadine Banon.
Autres temps autres mœurs.
Il est vrai que l’on ne saurait non plus dire de la jaunâtre Banon ce que Balzac écrit sur la courtisane Esther, « Seule, elle avait cette tendresse qui ne fleurit que dans l'infini. »
Serait il même possible de l’écrire pour aucune néo-femelle moderne ?
Quoiqu'il en soit,  il faudrait aussi faire songer aux Zautorités de mettre à l’index Balzac, comme l’auteur de Bagatelles. Mais quelqu’un parmi la Pitrerie intellectuelle a-t-il jamais entendu parler de « La comédie humaine » ?

Enfin, il reste encore une autre chose, et bien plus grave.
Nos anti-ouacistes amatrices et professionnelles, ont-elles bien pris la mesure du précédent qu’elles inauguraient ici ?
Parce que parler de Ouacisme à l’encontre de la Sorcière de Septentrion ouvre sur une sorte reconnaissance involontaire (et de mauvais aloi) d'un certain "anti-ouacisme", prohibé, illégal, abandonné jusque ici à la régurgitation morose de la plèbe populiste qui sévit dans la fatidique et fâcheuse fâchosphère. 
Je veux parler du risque de l'Eva Naissance et pas Joly du tout, d'un Ouacisme anti-blanc reconnu, et qui pourrait s'appeler dès lors le Racisme.  Et qui plus est « anti-nordique » !
Ainsi toutes les victimes, survivantes ou leurs ayants droits, qui se sont vues jusqu’à présent rayées d’un geste méprisant des listes sacrées des « Victimes du Oucisme », comme la famille de Jérémy Lepiller, de Romain, de Nicolas, de Sébastien, de Xavier et Audrey Verpoorte, etc., de tous les autres assassinés, et qui sont légion, et qui sont niés. Sortis des statistiques du seul racime virulent, seul véritable, parce qu'il tue ! Racisme légal protégé par le pouvoir d’Etat et ses officines subventionnées, et ses folliculaires journalopes.

Et pourquoi pas demain, après demain la reconnaissance de l’épouvantable racisme anti- allemand après la deuxième Boucherie Mondiale.
Là c'est une autre Histoire. Mais quoi, il est toujours permis de rêvasser, un peu, n’est-ce pas, avant l’heure grave de l’apéritif préprandial.

4 commentaires:

Le Gall : Décrypter Le Système Pyramidall a dit…

C'est le passage sur mamère qui me ravit le plus ! quelle jsute observation : une gueule de beauf dans toute sa splendeur !

Anonyme a dit…

Touchée-coulée la vikingesse ,sorte de sorcière de Blanche-Neige qui sous Ragnar & pour cause d'incessants bavardages burelesques et méchants ,son mari l'eût vendue comme esclave aux juifs de Lucena ou de Crimée dont c'etait le "job" ;un mari épuisé par la logorrhée devenue baobab à palabres de la vieille peau de par la grace des facilites de transport (Pedro ,nouveau Boula Matari porte l'aspirine sur les traces de Morton Stanley ,mais en plus fort et fait bouillir son thé à la bouse de rhinoceros) et la pleurniche à prébendes .
Un regal à lire et relire .
Salut .
Tonk

Antan a dit…

Ave Joly, errare humanum est.

Cotuatos a dit…

Une belle photo.
On dirait Regan MacNeil version extra-ménopausé.