Au mois d’avril dernier, à Merde-sur-Seine et dans toutes les grandes villes de France, les professionnels des crèches avaient manifesté par milliers contre des fermetures de crèches et la transformation de celles qui subsistent en vulgaires garderies.
En effet Nadine Médrano, le clown femelle d'Etat chargée de la destruction de la Famille, leur avait concocté un de ces projets dont le cirque du Fouquet's a le secret, pour l‘« assouplissement des règles d'accueil » afin de gérer « le sureffectif de bébés dans les garderies » (sic).
Outre cela, réduire le nombre de personnels diplômés (auxiliaire de puériculture, éducateur etc.) au profit de personnels beaucoup, mais alors beaucoup moins qualifiés, permettrait une application plus heureuse de la discrimination positive à l'embauche, au profit de l’apport irremplaçable de l’adversité, la diversité.
Pour ce faire on a crée ex-nihilo un « CAP Petite enfance ». Diplôme sur mesure pour jeunes filles chanceuses qui apprendront à gérer « le sureffectif de bébés » (comme on gère des objets trouvés dans les consignes des gares), avant qu’ils ne soient en âge d'aller se faire poignarder à l’école, par les frères des titulaires du dit diplôme.
Les slogans scandés dans ce mouvement de protestation d'une ampleur inédite dans le secteur de la petite enfance, étaient, à cet égard, explicites :
« Les bébés ne sont pas des marchandises ! »
« De l'accueil, pas de la garderie ! »
« Pas de bébé à la consigne ! »
Bien sur Morano n’avait rien cédé, affirmant que son projet « optimisait les places disponibles » dans les crèches.
Des bébés empilés les uns sur les autres comme des sardines à l’huile des Rachida.
Telle est la situation dramatique des crèches en Hexagonie.
À un point tel, que dans le 11ème arrondissement de la Kapital on ne voit plus par les chemins pavés d'étrons de cabots, que des chérubins tristes en larmes, livrés au mauvais vouloir de leurs « nounous ».
Ces accortes personnes n’ont pas, mais alors pas l’air du tout, d’aimer leur travail, et encore moins ce qui grelotte et geint dans les mal nommées poussettes, car elles sont le plus souvent en stationnement au bord des trottoirs, près des feux rouges, ce qui permet aux chérubins sus nommés d’absorber goulûment tout le monoxyde de carbone qu’ils peuvent contenir.
Les carrefours avec feux rouges interminables étant, je l’ai remarqué, les lieux de prédilection des haltes-chattering des nounous-eth-nique-les-mères-qui-bossent.
Ce goût que les « Face-de-Craies » marquent pour les tableaux Noirs en général, et en particulier pour les tableautins crépus dans leurs langes, adonisés de toutes les grâces des anges, contrairement à ce qu’un vil peuple pense, ne rencontre pas une réciprocité incontestable.
Ce qui m’étonne le plus, c’est que le sort du petit Yannick de Lyon ou du bébé Victor du XXème arrondissement de Paris, décédés suite aux mauvais traitement de leurs gentilles nounous, ne soit pas davantage la norme.
La presse :
Titre : "Autopsie de Victor".
« Les résultats sont sans appel.
Le bébé présente de multiples hémorragies internes : tous les symptômes du bébé secoué.
Les deux nourrices sont alors interrogés par les policiers de la brigade de protection des mineurs de la police judiciaire parisienne.
Une des deux nourrices craque. Elle avoue s’être emportée contre le bébé parce que "il pleurait trop fort." Elle a voulu le faire taire en le jetant sur un lit à plusieurs reprises. » LePost : Mort suspecte d'un bébé.
Notons que les articles relatant cette infamie sont à la rubrique « fait divers ».
Inversons maintenant, par hypothèse, les teintes des protagonistes : la rubrique et le ton des articles prendraient une autre couleur, non ?
Quoiqu’il en soit, pour rester dans le 11ème et terminer par une note plus gaie : un effort louable vient d’être consenti par la mairie.
Deux millions d'euros de subventions viennent d’être attribués à 14 crèches ou halte-garderies !
Formidable non ?
Évidemment il y a toujours des grincheux ! Heureusement en fort petit nombre.
Deux conseillers de Paris du Parti du Sénateur Mélanchon , Danielle Simonnet et Alexis Corbière, ont « regretté » que ces subventions soient attribuées à des crèches « qui ne respectent pas la laïcité et les obligations de convention demandées pourtant par la ville elle-même » .
Ah oui, c'est vrai, j’avais omis de mentionner que ces exorbitantes subventions étaient attribuées à des crèches Loubavitch.
Un loubavitch est un membre de cette aimable secte djuivante qui applique la Torah à la lettre .
Torah qui stipule expressément « que seuls les Juifs sont des être humains et que les goïm sont “de la semance de bétail” et qu’il y a moins de différence entre un goy et un animal qu’entre un juif et un goy ? »
Meuh !
Le Rabbin Cook père, le héros des colons du Goush Qatif de triste mémoire, renchérissait : « la différence entre l'âme juive et l'âme de tous les autres est plus grande et plus profonde que la différence qui existe entre l'âme humaine et l'âme animale . » Hé bêêê !
Inutile de dire que ce charmant rabbin était aussi un Loubavitch.
Inutile donc de préciser, que dans ces crèches racistes de Loups-bâveurs contre les non-humains, les porteurs d'âme de bête seront animalia non grata .
Inutile donc de préciser, que dans ces crèches racistes de Loups-bâveurs contre les non-humains, les porteurs d'âme de bête seront animalia non grata .
Le 11éme n’est nullement une exception. D’une manière générale, dans tous les arrondissements de Delanoëville les zélés zélus subventionnent grassement les crèches communautaires Djuivantes Loubavitch et autres.
C’est un fait !
J’avais déjà écrit là-dessus, et ici, en son temps.
Félix le Chat