Le Conseil représentatif des associations noires (Cran) a critiqué jeudi la Halde pour son opposition aux "statistiques de la diversité" et annoncé le lancement d'un 2e Baromètre des discriminations à l'encontre des Noirs, dont les résultats doivent être publiés en septembre.
L'association reproche à la Halde d'avoir par son opposition aux statistiques ethniques ou "de la diversité", contribué à ce qu'il "n'existe à l'heure actuelle aucun outil scientifique permettant de mesurer l'évolution des discriminations en France". Le Cran demande en outre "au gouvernement l'adoption d'un Plan d'action contre les discriminations".
L'association reproche à la Halde d'avoir par son opposition aux statistiques ethniques ou "de la diversité", contribué à ce qu'il "n'existe à l'heure actuelle aucun outil scientifique permettant de mesurer l'évolution des discriminations en France". Le Cran demande en outre "au gouvernement l'adoption d'un Plan d'action contre les discriminations".
Source AFP-23 Mai.
Mais QUI? subit le racisme en ex-france???
Piqure de rappel: les manifes du CPE.
"Sale Blanc"
Extraits:
"Arrivé au Boulevard des Invalides, les dépouilleurs se déchainent. C'est un spectacle digne des emeutes de Port-au-Prince ou de Libreville qui s'y déroule. Les invalides deviennent le théatre de scène de lynchage collectif.
Extraits:
"Arrivé au Boulevard des Invalides, les dépouilleurs se déchainent. C'est un spectacle digne des emeutes de Port-au-Prince ou de Libreville qui s'y déroule. Les invalides deviennent le théatre de scène de lynchage collectif.
Jérome, un adolescent de 17 ans, subit un tabassage en rêgle, purement "gratuit": il n'avait rien à voler sur lui. D'autres, comme ce jeune homme qu'on verra plus tard au journal de France 2, sont traités de "Sale Blanc" par ceux qui les agressent. La moindre résistance vaut à celui qui en fait preuve un surcroît d'attention de la part des bandes.
Les camps sont vites définis: la violence à un tel caractère interracial qu'il suffit qu'une échauffourée commence pour que, voyant un blanc au prise avec des agresseurs, des Noirs et des Arabes aussitôt de tous côtés pour le massacrer.
En quelques instant, un attroupement se forme, qui peut rassembler jusqu'à cent agresseurs. La victime est litteralement submergée par la masse humaine tandis que les coups pleuvent sur elle.
Un jeune anarchiste, membre de la CNT, tente d'intervenir avec un camarade pour protéger des personnes en train d'être agressées; il est littéralement massacré par une dizaine de nègres. Le tabassage est d'une telle brutalité qu'il doit être hospitalité à l'hôpital de la Pitié-Salpétrière pour un traumatisme cranien.
Des jeunes filles sont elles aussi brutalisées, l'une d'elles est trainée par les cheveux puis piétinée. Thomas Coex, un journaliste de l'AFP s'apprête à photographier un manifestant tombé qui vient d'être roué de coups lorsque deux agresseurs lui font un balayage, le jette à terre et lui donne plusieurs coups de pieds avant de se détourner pour se livrer à une autre agression...."
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Ad Nauséam
D'aucuns restent interdits, la machoire tombante, devant un gouvernement Sarközy-Fion-Dati-Amara-Yadé...
Mais cette alliance des Jupes plissées et du Jogging crasseux, s'était dejà réalisée lors du CPE, contre les petits blancs pauvres, qui se faisaient casser la gueule, alternativement, par les Jeunes supplétifs Versaillais de l'UNI et du FNJ, les futurs zélecteurs du Sarközy, et les Babouins racistes des bas-fonds, sous l'oeil goguenard des Gros Cons de CRS.
Félix le Chat
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