Or donc, nous apprenons que le Virus Rance Jr. va renoncer incessamment sous peu à des poursuites contre l’obsédé du Sofitel du libre-échange.
Ce n’est pas vraiment the big surprise, les avocats de Nafissatou Diallo avaient d’ores et déjà pris les devants comme Grosjean, en déposant au tribunal du Bronx une plainte au civil de 183 617 pages... qui laissait beaucoup à renifler des odeurs peu ragoutantes d’arrière-cuisines. Ces braves robins avaient bien compris que leur cliente avait peu de chances de satisfaire son envie du pénis au pénal. Et pour recevoir d'une Nafissatou éplorée mais reconnaissante, quelques émoluments en récompense de leur dévouement, il fallait que cette dernière, entre toutes, ait perçu des réparations en espèces sonnantes et trébuchantes.
Ainsi le cochon se fera dégraisser peut-être d’un peu de soue : bagatelles pour lui, beaucoup pour une femme de chambre.
Cette malheureuse, brave femme au fond, sincère mais tchatcheuse, et qui serait arrière grand-mère si elle était restée dans son biotope originel, risque de devenir une Queen Africa défrisée mais friquée. Comme ça, elle pourra se faire délainer par les plus grands merlans de Chelsea.
Tout ça finit donc en eau de boudin, et quand je dis boudin c’est à prendre au pied de la lettre. Car de ce vaudeville la seule chose que nous retiendrons ce sont les goûts de lisier du Verrat, qui semble avoir un faible marqué pour les épluchures et les gotons.
Entre la jaune et grêle pimbêche TristanE Banon et cette armoire à glace grêlée, il doit se faire une lassitude chez ce genre d’homme à force de brouter de la salade slave et rase à tous les repas. D’où peut être ce désir forcené de varier les menus.
La triste ânesse Banon, ictérique, chlorotique et érotomane [1] , auteurE cacographe de brochures pornographiques sans écriture, avec sa face de rate anorexique qui aurait dégueulé un bout de gruyère avarié, quand elle a vu le gros matou à sa mémère à terre, s’est précipité toutes griffes dehors pour la curée.
Pauvre TristanE, fille d’une plus triste Anne encore, auteurE à tête d'oiseau, abreuvée aux pissotières de sa mère ! Car c’est par le cul de celle-là que toute cette pitrerie a commencé.
Un jour elle a cru que c’était arrivé ! « je suis la maîtresse de Strauss-Kahn », glapissait elle fièrement, entre deux bouffées de chaleur, quand son tour vint d’être calcée les jambes en l’air sur un bureau de l’OCDE.
Tu parles ! C’est ça le vrai problème de monsieur Strauss : il est trop oriental. Toutes les bécasses veulent bien se laisser besogner par leur boss, mais à la condition de n'aller pas trop vite en besogne, et chacune à son tour, en respectant un minimum les appâts rances. C'est à dire l'illusion pour chacune d'être l’unique, la favorite, l'élue...d'éclipser à jamais toutes les autres.
Tandis que lui ne les pratique qu'en tas, monceau de chair dans lequel il se précipite en grognant. À la fin, les grognasses, qui seraient toutes prêtes aux derniers outrages par un Prince de ce monde charmant, déçues, choisissent de se consoler dans la logorrhée. D'ailleurs pour le String raconter ses histoires de cul c'est le fondement de son plaisir. Le mâle parle en mangeant, la femme mange en parlant.
Pour en revenir au cas Banon, premièrement on ne s’appelle pas TristanE ! Qui est aux prénoms femelles ce qu’écrivainE est à leur talent. D’autant qu’elle l’a choisi ce prénom foireux. Pour l’état civil elle s’appelle Anne-Caroline.
Deuxièmement, en 2007, lors d'une émission de l’homme-tronc Ardisson (1m92 assis, 1m48 debout, toujours prêt à lécher un os de ragot germano-popotin), la dinde à tête de poire, hilare, avait fait sa petite intéressante en racontant par le menu une tentative d'appariage forcé, mais avorté avec l'Ubu-Ministre, le chimpanzé en rut dit elle.
Quatre ans plus tard, l’hilarité s’est transformée en lacrymosité et la gaudriole devint un Viol, crime inexpiable ! La harcelée au « soultif presque enlevé » (sic) mua en une traumatisée à vie !
On connaît la suite : à l’aide de son coulis Koubbi elle tenta un coup bas, et donnait le coup de pied de l’ânesse au Strauss-Kahn à terre.
À notre avis, avec le blanchiment de l’argentier sale par le lâche Vance, c’est râpé pour son méchant petit minois de féministe à fromage. La journaliste jaunâtre qui voulait pallier sa sécheresse d’inspiration à sécréter de petits monologues du vagin, en sera pour ses frais de Koubbi.
Bien fait !
C’est la deuxième chose d’un peu réjouissante dans cette pantalonnade déboutonnée, où l’on vit, et c’est la première (la principale, réservée aux connaisseurs), la gynécocratie entrer en conflit génital avec sa génitrice gynécologue, sa marâtre idéologique, sa marrane.
note :
[1] À ne pas confondre avec nymphomane = insatiable du fion. L’érotomane croit qu’elle est la chose la plus désirable au monde, que la terre entière tourne autour de son berlingot.